Marie-Michèle Roberge

Soprano

Marie-Michèle est native de Lévis. Après un baccalauréat en enseignement de la musique à l’Université Laval, elle décroche un autre baccalauréat ainsi que deux maîtrises en interprétation chant classique auprès de madame Hélène Fortin. Elle se distingue en remportant à trois reprises la bourse Patricia Poitras de l’Université Laval. De plus, elle obtient les rôles de Gertrude dans Hansel und Gretel de Humperdinkt et de Pamina dans la Flûte enchantée de Mozart, ceci dans le cadre de l’atelier de l’Opéra de l’Université Laval. 

En 2006, elle remporte le premier prix Hydro Québec au concours de Royaume du Saguenay Lac Saint-Jean. L’année suivante, elle finit première au concours de musique du Canada à la finale nationale. En 2008, Marie-Michèle participe au Tremplin international qui lui vaut une place en demi-finale. En 2012, elle remporte le prix Ferdinand Tremblay ainsi que le prix du public au concours de musique de l’Association lyrique de Beauport. 

C’est sur la scène du Capitole de Québec dans la comédie musicale Les Misérables que Marie-Michèle commence sa carrière en tant que chanteuse professionnelle. Par la suite le réputé baryton Gino Quilico l’invite à chanter avec lui à trois reprises. En 2007, Marie-Michèle devient choriste professionnelle dans le choeur de l’Opéra de Québec et depuis elle ne cesse d’évoluer en tant qu’artiste au sein de cette compagnie. En effet, elle y joue le rôle d’Annina dans La Traviata de Verdi en 2012, tout en participant quelques mois plus tard au Gala de l’Opéra de Québec, ce qui lui donne l’occasion de se produire aux côtés des réputés Étienne Dupuis et Gregory Dahl. Par la suite, elle interpréta le rôle de Léonie dans La Vie Parisienne d’Offenbach, Dama, la Suivante de Lady Macbeth dans Macbeth de Verdi, Papagena dans la Flûte enchantée de Mozart, Nella dans Gianni Schicchi de Puccini et la comtesse Ceprano de l’opéra Rigoletto de Verdi. 

Marie-Michèle a tout récemment interprété des extraits de l’opéra Madame Butterfly de Puccini à l’inauguration du théâtre Le Diamant de Robert Lepage. 

Crédit photo : Rosalie Roberge